Au-delà des statues, une pointe dans l’œil
nous avons parcouru les sentiers
attentifs aux ombres entre les branches,
attentifs aux bruits entre les troncs.
Quand le blanc des pierres disparaît derrière le lierre,
les veines des chairs sous la peau,
il est temps d'allonger ses jambes.
Allonger le pas entre les socles taillés dans le marbre marbré de rose,
entre les rosiers taillés dans la roseraie parfumée de roses.
Un désert de rocs dans une légère pente parsemée de thym et de persil,
la trace d'une vie dans l'humidité de la mousse et du lichen,
des grains de poussières éparpillés entre le souffle et le vent.
Sous la peau le picotement, la brûlure du feu sur le bout des doigts.
Je le savais,
je savais qu'il ne fallait pas y aller,
qu'il fallait rester assis sur le mur séparant
le jardin et la forêt.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
D'énormes
D'énormes quartiers de roches nues Tombés au milieu de la forêt D'énorme quartiers de roches nues Tombés au milieu de la prairie De ...
-
Les murs mettent du temps a se réchauffer, à l'intérieur des coquilles, rien de nouveau, les bruits obsessionnels se sont tus, les bruit...
-
Envoyez dés maintenant et prenez les armes ! Parle moi avec un autre ton. Ils sont tellement proches, ce n'est pas Hong-Kong, ce n...
-
Quand viendra ! Quand viendra la poussière sur le banc, la cendre autour des pieds des pommiers, les traces du passage de l'air entre ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire