Je n'ai pas eu l'impression d'avoir eu une coupure.
Vivement qu'il parle à la télévision du sens
à donner aux multiples courants d'air et
qu'enfin après cette longue marche au milieu
des fougères, je puisse pénétrer la forêt sombre.
Je me suis assis devant la télévision quand
sur les orbites au-delà de la ceinture d'Orion,
les sondes rendirent un éclat pâle impossible
à ressentir sous le couvert.
Ne pas refaire, pile poil, ce qui a déjà été fait.
Faire avec le 29 décembre, les averses froides
d'eau froide, l'air entre les pieds des chaises,
la mésange accrochée à sa graine.
A coté, je n'ai pas vu du monde, vu et oublié la chaleur.
Au loin, j'aperçois des traces de mondes reliés
par une ligne éphémère, les brosses du ciel traversé
de poils échappés des cadavres d'objets volants.
Ce n'est pas le même contexte.
C'est long, c'est long.
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